Catalogue des publications On dirait une fin, on dirait que tu y rôdes. Tu as pris mes os froids entre tes mains, la ruelle était maintenant déserte. Il n’y a jamais de porte entre moi et l’ombre. Des voitures encore chaudes dans les parkings, J’essaie de lire les messages qu’écrivent, les choses ordinaires d’un matin ordinaire, Le céleri coupé sur la table de la cuisine m’intrigue, avec ses feuilles en spirale dans le sens, préféré de la nature    qui pourtant n’a pas de montre, et bien évidemment n’est ni de gauche ni de droite. Je serai là, couchée dans ma patience. Ô lac ! Le duvet de ses flancs est pareil. Pars courageusement, laisse toutes les villes ; Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin : Du haut de nos pensers vois les cités serviles. quand il aura terminé et miné ses études... fille rapiécée. ni flammes de dragons ni fureur de guerre, le ciel fut toujours calme en ces contrées, jusqu’à m’en écouler le bleu calme de l’iris, je lui demande d’être disciple de ses yeux secs et brillants, elle me fait promettre de jeûner, de laisser mon ventre creux, de percer au nombril un trou vers le ciel, J’écris contre le vent majeur et n’en déplaise, À ceux-là qui ne sont que des voiles gonflées, Plus fort souffle ce vent et plus rouge est la braise, L’histoire et mon amour ont la même foulée, J’écris contre le vent majeur et que m’importe, Ceux qui ne lisent pas dans la blondeur des blés, ouvrant chaque fenêtre je fais le tour de la maison, laissant courir la lumière sur les meubles, le miel des souvenirs se répand dans mon être. Si l’on m’avait demandé : qu’est-ce? Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Quant de la chair, que trop avons nourrie. Les neuf étages de l’enfer se sont écrasés sur les ouvriers du pays des terres inondées. Vos yeux ont des appas que j’aime et que je prise. comme la famille brûlée et les plantes privées d’enfants, comme le bruit du vent qui mesure des drapeaux. Je me souviens, de l’an dernier. ou vers une grange aveugle un après-midi de soif. Poursuit l’aube blottie au lit vert des roseaux. J’ai regardé monter la marée, l’ai vue redescendre ; Pourquoi te plaît l’obscur de notre jour, bercées par le lait chaud au miel lorsque malades, près de l’esplanade sablonneuse de la marina, où survenaient les compétitions hivernales de crazy carpet. Quand nous serons ensemble et forts comme une armée, De l’attaque sur le foyer qu’il essaie de préserver, Sa dernière ligne de défense est une prière. mère qui veut tout et rien à la fois. Soudain le coup sourd au cœur, soudain le mot donné, soudain le souffle de l’Esprit, le rapt sec, soudain la... Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages. Car c’est, chez eux, une aventure assez commune. Là-bas, d’un flot d’argent brode les noirs îlots. une aptitude à l’asthénie inscrite partout. J’ai cru que la cause était belle. Ce n’est rien. Je vais partout, là où il y a des hommes, comme la ville et les mains qui échappent, Il va neiger dans quelques jours. brûle du noir et crépite en se refroidissant. Et quelle nuit... le lait dans mon thé présente son numéro d’hypnose, se diffuse en serpentins et évolue en tournoyant, dans mon thé majorette les rubans s’éternisent, Je ne veux pas mourir comme on meurt en novembre, avec ce rien de nuit qui nous remplit les yeux, et cette fin du monde au bout de nos regards, quand le souffle pesant qui trahit notre pose, et qu’il faut vérifier le visage des hommes, pour voir si la douleur les touche de profil, là dans la torpeur de la cour nous aurions arrosé le riz de, senteurs de haricots ou de champignons noirs de membres, de gallinacées et d’effluves de citronnelle, au plus raide du passage et de la nuit surgie sans un cri, nous aurions parfumé la mémoire commune d’audiences. C’est par considération que je meurs. Ils étaient quatre qui n’avaient plus de tête. Je vous le dis, mon Père, ce n’est pas le ciel avec ses cris orphelins qui fera de ma vie un mirador : je ne suis ni une rivière ni une ombre, mais un os de peur, à enfouir sous la mer. Maria a pressé le citron vert sur le poisson grillé, Elle a ri quand Vior a mangé les crevettes, Les yeux     ou les pattes     les antennes, peut-être, J’écris comme on consulte un album de photos, une photographie, c’est l’existence au plus-que-parfait du subjonctif, à l’imparfait du subversif, du disjonctif, comme l’enfant de la photo en couleur essaie de survenir. C’est pour avaler, c’est pour la dent creuse. De vers, de billets doux, de procès, de romances. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous habitons une maison légère haut dans les airs. l’ombre longue de ma main glissant sur le feuillet. comme s’il fût possible de l’inventer ou de le... dans l’odeur de résine chauffée par le soleil, et la marche élastique sur les aiguilles de pin, des truites vives     dans le canoë qui sentait le vernis), Lasse, ayant bu l’azur, de filer la câline. Et, ces soirs-là, je vais tendre comme une femme. Des groupes de bicyclettes passent sur Notre-Dame. Sur soi soudé par le proton et le neutron. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre. Où la flamme va pouvoir être, à son désir. Vous avez bien sujet d’accuser la Nature ; Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau. Dessus cet arbre sec ? et suis épouvanté par mon aspect étrange. Et l’on se quitte, on joue à cache-cache. Et, par terre, un hareng saur - sec, sec, sec. Salut, derniers beaux jours ! Les endroits non frayés d’aucune trace humaine. Elle écrasait tout dans son grand rectangle noir imprimé : on a freiné attendu puis trouvé le sentier. Dieu dans les yeux d’un chien fou, dans la gueule... des statuettes victoriennes, des marguerites, une maison orange et bleue, des serviettes roses sur le balcon, un homme aux cheveux blancs à l'autre bout du paysage, tandis que je rentre à la maison Paix et Amour, des enfants jouent dans les flaques d’eau. l’illumination tombée des limbes du froid, dont la structure aérienne allégera l’esprit. Libres comme la mer autour des sombres îles. Mélancolie. Ainsi que les espoirs naguères à mon cœur. Pour le sillage de l’avion dans le ciel de juillet. C’est là un destin meilleur qu’on ne croit, Mon avion en flammes mon château inondé de vin du, mon ghetto d’iris noir mon oreille de cristal, mon rocher dévalant la falaise pour écraser le garde, Je t’attendais ainsi qu’on attend les navires, Dans les années de sécheresse quand le blé, Ne monte pas plus haut qu’une oreille dans l’herbe, Qui écoute apeurée la grande voix du temps, Je t’attendais et tous les quais toutes les routes, Ont retenti du pas brûlant qui s’en allait, Vers toi que je portais déjà sur mes épaules. Le sauvage raisin offre son jus qui grise ; Le soleil a pourpré la pomme et la cerise ; La ronce est toute noire et l’airelle est d’azur. bois couronnés d’un reste de verdure ! Comme inquiets de ces vêpres qui sonnent. pour écrire des poèmes dans lesquels les... Dieu sait que je les aurai voulus autres —, L’ange qui marche obstinément derrière toi. Il était un grand mur blanc - nu, nu, nu. Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. Nous remercions le Conseil des arts du Canada de son soutien. L’astre commence à poindre, et ce sont des surprises. Tout de suite au plus noir d’une lame profonde. Est triste et faible et lourde et lasse, infiniment. J’habite un espace où le froid triomphe de l’herbe, où la grisaille règne en lourdeur sur des fantômes d’arbres. We would like to show you a description here but the site won’t allow us. Défiez-vous. Fruits mûrs les seigles blonds que fauche l’acier dur. contre plans et ratés je m’efface oh m’enfarce. le joyeux soir de mai ! — En quelle part est-elle ? Mon auberge était à la Grande-Ourse.... Comme un qui s’est perdu dans la forêt profonde. où vais-je ? Le caractère joker est * … La sueur les mouillant et coulant au pétrin. Les garçons n’oubliaient pas d’apporter des entonnoirs. Une clef vigilante a, pour cette journée. rappeur frappeur à l’ivresse de mes tripes. J’ai rêvé d’un grand château dans la plaine. J’ai lu que les poètes, en Chine, sont très doux. Souffle les flèches d’eau d’un orage qui fuit. Le regret des rêveurs qui n’ont pas voyagé. Et les arbres, surpris de ne pas voir la nuit. Pourquoi, pourquoi? Étrange production soulevée par l’énergie qui la parcourt, Entourées de lumineux et sortant un peu de l’ordinaire, le vent joue avec moi comme il parle aux feuilles, tous les jours je me dirige vers le jardin de la gare je songe à, l’énigme de mes gestes pense oui mais je dis non un court-cir-, cuit se produit je suis toujours assis sur un banc à observer un, oranger et je veux disparaître m’abandonner au bruit du train, La lune était sereine et jouait sur les flots. Voici la liste de tous nos poèmes pour les élèves entre la 3e secondaire et le cégep. Mon âme vide. fille faite de fragments. De nombreuses victimes… Société Cameroun : plus de 600 millions FCFA pour l’Hôpital régional de Bafoussam Et puis quoi d’autre sinon un milliard de routes de nuit éclairées par le cul d’une luciole priée espérée attendue ? Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie, le nez qui renifle déjà du côté noir de Dieu. Poussaient leurs troncs noueux vers la voûte céleste. Ici simplement la blessure. Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là, je pense à ma mère juchée bancale dans la cuisine, est-ce que mes jambes sauront me propulser, mais les oreilles, les narines, les poumons. Les rêves échoués desséchés font au ras de la gueule des, les espoirs trop rapides rampent scrupuleusement, pour ma part en île je me suis arrêté fidèle, debout comme le prêtre Jehan un peu de biais sur la mer, si je ne touche pas les lignes du trottoir, si je me rends au troisième lampadaire sans. Je tourne autour des soleils jusqu’à ce... Je passais près du feu dans la salle vide, Et je vis qu’il brûlait encore, et qu’il était même, Entre les forces de la cendre, de la braise. En plein vol, et cachant votre histoire en son... elle confondait dès lors le soui-manga et l’aigle, elle avait cru réinventer la roue, ma mère, je suis debout dans le soleil et je marche, je marche à la vie à la lutte à la victoire, me voici prêt à vivre désormais comme il convient, comme il convient à un pauvre nègre qui a beaucoup, souffert non pas désolé mais consolé non pas déserté. Montent, comme au-dessus d’un invisible feu. Il y eut sur cette île sang brûlé herbe brûlée, Et tout un ciel bleu chaviré en tristesse. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Autour de la maison qui secoue dans le noir. Il vous naît une étoile au-dessus de la tête, Elle voudrait chanter mais ne peut faire mieux. nous volons dans un ciel à chaque porte plus ouvert. Un glas encor sanglote aux lointaines églises... La nue est envolée, et le vent, et le bruit. Le noyau vire au spin des quarks dans sa rotonde ; L’électron vole autour et, moqueur ou poltron, je vais te pointer tous les endroits où j’aurais voulu être du temps, ça fera des tracés, une carte, notre Lonely Planet personnel. Et qui peuvent beaucoup dessus ma liberté : Dans respirer m’a dit Goethe il y a deux grâces, l’air qu’on s’incorpore et celui qu’on lâche, la peine que j’ai moi c’est à rendre l’âme, l’âme que l’air m’a prêtée j’oublie d’expirer. », Perdue la même voix de couteaux qui appelle, les veines se séparent pendant le sommeil. Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu. À des neiges d’avril qui croulent au soleil; Mais, ferme et d’un blanc mat, vibrant sous le zéphire. Élus ! l’herbe-au-coq, l’herbe-au-fic, aux-ânes, aux-boucs. L’... Peu de gens, que le Ciel chérit et gratifie. sortir sans rythme à un boulevard pressé, (très petit mort d’un seul bloc fragile un enfant, sur lequel s’élèvent les bras figés des pleureuses. Qui n’eût jamais connu les heures de détresse, Un cœur qui n’eût battu qu’au spectacle du beau. La slague en traînées incandescentes. Partaient, ivres d’un rêve héroïque et brutal. Loin du temps, de l’espace, un homme est égaré. J’ai cinq ans et ma mère danse tandis que je ne sais pas écrire, « j’ai de beaux oiseaux et des pendants d’oreilles » elle virevolte et chavire dans mes pensées volantes, toute musique et cavale, toutes peaux dehors et déployées, elle s’agite et se perd et se donne, courant d’air, devenue, elle souffle et reprend son souffle et danse encore et toujours juste comme si la danse se... passer de l’autre côté des barrières grises, traverser et suivre les pistes du désert de sel, se jeter à l’horizon surcaché de l’horizon, allumer l’incendie au milieu d’un vent de sable, s’envelopper de l’orage de Newton des Bédouines. Nous étions (hélas ! à force de veiller la naissance de l’aube, Un saxophone joue dans ma tête un air ancien. Et l’amour se cachait dans tes rameaux touffus. Je resterai avec vous jusqu’à l’heure émouvante, où votre cœur sera devenu un continent glacé. Le coq égosillé chancelle comme un pitre. Le vent contre ma vitre, où cette aurore luit. Et l’on voit s’effacer les clochers d’alentour. Et, dans un remuement de feuillage et d’oiseaux. moins triste et moins modeste. Le cœur du ciel, mon cœur saignant qui vous fait vivre, et puis t’aimes pas les mots tu les connais pas souvent tu, sais pas ce qu’ils veulent dire y’a tout un genre de mots, que tu veux pas entendre ou dire les mots à trois syllabes, tu laisses tomber tu veux même pas savoir ce que tu. Il va droit devant lui, en avant, en arrière ; Enluminés d’amour comme dans tous ces clichés. Ici sur mon départ. Ça s’est infiltré peu à peu dans ton cerveau, il hurlait, ton chat, il ne cessait pas de hurler, et tu n’as plus voulu l’entendre. Ton glissement nocturne à travers l’Europe illuminée, Ô train de luxe ! Sur un ciel de tristesse et de mélancolie. j’avais la frayeur du sang et de la barrière. Ô Père, tes moissons exactes sont rentrées. Que devrais-je dire que l’on n’ait déjà entendu ? Les routes de salut se sont enchevêtrées…. Tu n’en pouvais plus, comme cette mère qui n’en pouvait plus d’entendre pleurer son enfant. Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez ! Que pourrais-je écrire que l’on ne sache déjà ? aux forêts de nuages et aux archipels flottants. Je me réveille à quatre heures quarante du matin pour écrire ça. Et d’échanger enfin la branche d’olivier. Qui bruit le long de tes couloirs de cuir doré. Des portes d’Orient tu franchis la barrière. Tandis que les transatlantiques sifflent sur le canal ! Ici la blessure en même temps que la joie. qu’innommée, qu’ans, qu’os, que feu père. Les enfants courent partout. « Vas-y, raconte-moi notre histoire maintenant. au cerveau, que prétention à rien, qu’autrui. Tu fais l’effet d’un beau vaisseau qui prend le large. Après le grand silence civil de maints jours tout fumant de rumeurs et de fumées. J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Le cygne chasse l’onde avec ses larges palmes, Et glisse. Lui, chantait dans les ors lourds des épis penchants. passant, je lamente. Ici m’arrive ce que l’on peut attendre. Le siècle est un souper qui se trempe, s’arrose, s’asperge, se douche, s’inonde. Ô Vent du Nord, vent de chez nous, vent de féerie. Dont je meurs de douleur. — Écoute le silence sous les colères flamboyantes, La voix de l’Afrique planant au-dessus de la rage des canons, La voix de ton cœur de ton sang, écoute-la sous le délire, Est-ce sa faute si Dieu lui a demandé les prémices de ses. Je me souviens de deux promeneurs, c’est ça. si ej pouvons coller des lettres ensemble, À l’heure où la lumière enfouit son visage. Dans l’immense Prairie, océan sans rivages. assis sur la muraille en fleur de mes limites, je regarde sérieusement dans son moment donné, oh le cadeau de vent woups l’allure de l’éternité, couché même des fois quand il fait beau tout bas, dans la rocaille douce de ma solitudineuse finitude, j’écoute l’herbe pousser à travers l’humus de mes os, Un castor, bon enfant, un jour prêta l’oreille, Il s’agissait d’éteindre une haine bien vieille. Au numéro vingt-trois de ce quartier ancien, J’eus longtemps — grâce au ciel moins qu’au propriétaire —. Comme les rocs fatals de l’esclavage humain. Qui, pour les sottes gens et les gens prévenus, Beauté, mon beau souci, de qui l’âme incertaine. D’argent; où le soleil, de la montagne fière. Je vis, je meurs, je me brûle et me noie. Modulent leur prélude à ma croisée ouverte. Et sourdement touche l’herbe et le sable ; Dans l’eau du temps qui traverse les marbres. J’ai lu qu’ils s’enivraient de vin et de la lune, Et leurs vers se balancent comme de longs bambous. Mon âme en vain cherche le fil de sa mémoire... pour nous calmer nous mettre à l'abri des épidémies de médecins drogués dur et des raz-de-marée nous allons ... Mais dans ses cauchemars les morts se cachent, La poussière de l’heure et la cendre du jour. au coin du feu. Ainsi, comment revoir la chose. Nous sommes les pêcheurs de lune ; Le tremblement de terre a maudit nos nuits sur la lagune. Un bus de transport interurbain est entré en collision avec un camion et a pris feu tôt ce matin du 27 janvier. Plus qu’entr’aperçue au fond de la chambre. Il est d’étranges soirs, où les fleurs ont une âme, Où sur la vague lente et lourde d’un soupir. Le bruit que fait Pina Bausch quand elle danse est le bruit d’une bouteille vide, une bouteille qui fend l’air, lancée avec force et retenue avec une force plus grande encore, une bouteille qui remue un peu mais qui ne bouge pas, qui reste dans la main, qui reste vide dans la main ouverte, c’est le bruit d’une scène trop haute ou d’une voix trop basse, d’une taille qui ne convient pas, d’un... C’etait en juin, la chaleur était grande... L’insecte ailé brillait des plus vives couleurs ; L’azur, le pourpre et l’or éclataient sur ses ailes ; Jeune, beau, petit-maître, il court de fleurs en fleurs. Il est 22 h 37. Contre le mur une échelle - haute, haute, haute. cette langue nouvelle s’agrippe aux parois, elle a tout son temps de parole amoureuse, maintenant nous sommes assis à la grande terrasse, où paraît le soir et les voix parlent un langage inconnu, de plus en plus s’efface la limite entre le ciel et la terre, et surgissent du miroir de vigoureuses étoiles, soudons nos naissances au même rond de terre noire le, pays n’est plus de pierres piquantes nous traversons le, promenons à travers villes transparentes et soufflées par, géants aux exhalaisons verticales où seuls.